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- Mardi 6 Août 2019 - 17:57 - Les Roches Noires disparaissent
inéluctablement en raison des constructions de bord
de plage
Chaque
année, la plage perd du terrain sur la mer, non seulement
en raison de la montée du niveau des eaux, mais aussi
par un phénomène de perte de sable dû
aux obstacles rencontrés par les vagues. Le mur d'une
habitation, donnant directement sur la plage, s'est effondré
la semaine dernière, sous l'effet de la forte houle.
Si les maisons en bord de plage sont amenées à
être englouties par l'océan, elles accélèrent
la disparition de la plage.
On se souvient de l'effondrement du restaurant l'Oasis, en
2009, qui fut le premier signe spectaculaire de la disparition
de la plage des Roches Noires. En décembre 2012, le
mur de moellons de l'esplanade a disparu lui aussi, emportant
une partie de l'ancienne esplanade. Les constructions en bord
de plage ont fait disparaître l'arrière-plage,
qui est pourtant nécessaire à la dynamique des
plages. En effet, nous explique le spécialiste des
courants Roland Troadec, l'arrière-plage dissipe l'énergie
des vagues, en même temps qu'elle participe de la reconstruction
des plages après une forte houle, jouant le rôle
de réserve de sable, qui se reconstitue doucement.
En revanche, les constructions de bord de plage entraînent
un phénomène de ressac, qui, par un effet retour
crée une agitation qui n'aurait pas lieu sans ces obstacles.
Ainsi les vagues qui se heurtent aux murs des maisons ou encore
aux rochers artificiels supposés protéger l'esplanade,
emportent de grandes quantités de sable au large. La
digue du port de plaisance participe elle aussi de la mort
annoncée de la plage des Roches. Dans l'ouest de l'île,
le sable est essentiellement formé au niveau du récif
coralien de l'Hermitage et de la Saline. Il est, dans un flux
perpétuel, déplacé vers le nord. La digue
du port empêche que le sable nouveau atteigne la plage
des Roches Noires, explique Roland Troadec. À l'époque
de la conception du port, le laboratoire de géologie
de l'université de La Réunion avait émis
des réserves quant à la digue, sans effet.
Ainsi, digue et habitat condamnent la plage à disparaître.
La seule solution serait la destruction des obstacles à
la houle, mais c'est impossible, la loi Littoral ayant été
aménagée spécialement pour les DOM, où
de nombreuses parcelles de bord de mer ont été
vendues par l'État. Si les fameuses paillotes ont été
détruites, c'est qu'elles étaient sur le domaine
public maritime, héritier des 50 pas du Roi. Cette
bande de terre constituait une réserve domaniale pour
la défense au temps de la Compagnie des Indes. Le décret
du 30 juin 1955 fit que la quasi-totalité des parcelles
de la zone des 50 pas furent déclassées pour
pouvoir être vendues. Entre 1956 et 1976, le déclin
du chemin de fer accéléra la vente des parcelles,
qui échappent désormais au DPM.
Le réchauffement climatique accélère
l'érosion, par la montée des eaux, mais pas
autant que les maisons individuelles de bord de mer. "Pendant
longtemps, l'élévation du niveau de la mer s'établissait
à 1mm par an, depuis une quinzaine d'années
il est de 3 mm, depuis 1900, le niveau océanique a
augmenté de 15cm", affirme Roland Troadec. Les
prévisions du GIEC prévoient, dans le scénario
le plus "optimiste", une montée des mers
de 50 cm à l'horizon 2100, estimation reprise par l'Etat
dans l'établissement du nouveau plan de prévention
des risques de l'île. Tout le littoral urbanisé
est ainsi classé en rouge, à l'exception de
la Saline les Bains et l'Hermitage, sous prétexte que
la barrière de corail ferait office de tampon en cas
de submersion marine, rendant ainsi possible la construction
de nouveaux bâtiments. Bérénice
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- Samedi 2 Novembre 2019 - 09:23 - A la Une - La Saline: 23
kg de poissons saisis dans le lagon
Dans
la nuit du 22 au 23 octobre 2019, les agents assermentés
de la Réserve Naturelle Marine de La Réunion
et de la Brigade Nature de l'Océan Indien avec le soutien
de la Gendarmerie de La Réunion ont interpellé
une personne en action de pêche sous-marine illégale
de nuit dans le "lagon" de la Saline les Bains.
En lien avec la Direction Mer Sud Océan Indien (DMSOI),
le matériel de pêche ainsi que 49 poissons et
crabes ont été appréhendés par
les gardes, soit 23 kg de prises au total (poissons perroquets,
mérous, capucins,...dont de nombreux juvéniles).
Pour des raisons sanitaires et par principe de précaution,
l'ensemble des prises ne peuvent pas être utilisées
à des fins alimentaires mais seront valorisées
au travers de relevés morphologiques par la cellule
locale de l'IFREMER avant d'être détruites par
une société d'équarrissage..
La pêche sous-marine de nuit est une pratique illégale
fortement préjudiciable à l'équilibre
écologique de nos récifs coralliens et les agents
de la Réserve Naturelle Marine de La Réunion
sont vigilants au respect des règlements de pêche
établis au sein de l'Aire Marine Protégée.
Durant ces prochains mois, la fréquence des missions
de Police de l'Environnement inter-services va s'accentuer.
Pour rappel, la pêche illégale dans la Réserve
Marine est un délit pouvant faire l'objet de fortes
amendes qui peuvent aller jusqu'à 22 500 euros. N.P
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IPRéunion - jeudi 7 novembre 2019 - Pris en flagrant
délit - 5 pêcheurs interpellés avec 39
kg de poissons et langoustes pêchés illégalement
dans le lagon
Ce jeudi 7 novembre 2019, c'est sur les réseaux sociaux
que la Réserve naturelle marine fait état d'une
opération qui s'est déroulée dans la
nuit du mardi 5 au mercredi 6 novembre. "Les agents assermentés
de la Réserve Naturelle Marine de La Réunion
avec le soutien de la Gendarmerie de La Réunion ont
interpellé 5 personnes en action de pêche sous-marine
illégale de nuit dans le "lagon" de la Saline
les Bains et au niveau de Bois Blanc à Saint Leu .
En lien avec la Direction Mer Sud Océan Indien (DMSOI),
le matériel de pêche ainsi que 62 poissons et
langoustes ont été saisis par les gardes, soit
39 kg de prises au total (poissons perroquets, capucins, langoustes...)"
Pour des raisons sanitaires et par principe de précaution,
l'ensemble des prises ne peut pas être utilisé
à des fins alimentaires mais sera valorisé au
travers de relevés morphologiques par la cellule locale
de l'IFREMER avant d'être détruites par une société
d'équarrissage.
La pêche sous-marine de nuit est une pratique illégale
fortement préjudiciable à l'équilibre
écologique de nos récifs coralliens et les agents
de la Réserve Naturelle Marine de La Réunion
sont vigilants au respect des règlements de pêche
établis au sein de l'Aire Marine Protégée.
Durant ces prochains mois, la fréquence des missions
de Police de l'Environnement inter-services va s'accentuer.
Rappel : La pêche illégale dans la Réserve
Marine est un délit pouvant faire l'objet de fortes
amendes qui peuvent aller jusqu'à 22 500 euros. |
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- Mercredi 4 Décembre 2019 - 10:33 - La grande Une -
Sauvetage en mer: Les 3 stations SNSM de l'île fermées
jusqu'à nouvel ordre
Depuis samedi dernier 30 novembre, les trois stations de la
Société Nationale de Sauvetage en Mer sont fermées.
Les bénévoles refusent de prendre la mer avec
des gilets de sauvetage non-conformes. Ce problème reflète
celui de la gouvernance de la SNSM, relevé dans un rapport
sénatorial commandé suite au drame des Sables
d'Olonne en juin dernier. La confiance des bénévoles
envers le siège parisien est fortement entamée.
Les conditions de mer vont se dégrader dans les jours
à venir, une forte houle est attendue. Mais les bénévoles
du sauvetage en mer ne prendront pas la mer aujourd'hui, pour
cause de problème de matériel de sécurité.
Depuis samedi dernier c'est un état de fait: pas de bénévole
de la SNSM sur les vedettes. En cause: des gilets de sauvetage
tout neufs reçus vendredi dernier, en urgence, l'envoi
précédent ayant été aussi problématique.
C'est une suite de couacs qui amène les "patrons"
des vedettes de la SNSM à prendre la grave décision
de ne pas mener leurs équipages en mer, depuis trois
jours, mettant à mal leur mission de sauvetage, qui leur
tient tant à coeur. L'histoire rocambolesque de ces gilets
de sauvetage, coûteux et high-tech, commence en mars dernier,
date de leur réception à La Réunion. Le
siège de la SNSM avait commandé à Survitec,
fabricant anglais de matériel de sécurité,
800 000€ de gilets de sauvetage, en remplacement des anciens
arrivant en fin de vie fin décembre 2019.
Pour être en conformité avec la législation,
les gilets de sauvetage doivent être révisés
par des techniciens agréés par leur fabricant,
une fois par an. Une étiquette est apposée sur
chaque gilet, indiquant sa date de validité. Passée
cette date, le gilet est inutilisable, sous peine d'amende,
et au risque qu'il ne se déclenche pas correctement (ces
gilets se gonflent sous l'effet d'un déclencheur). Le
capitaine d'un navire est responsable de la sécurité
de son équipage, il doit vérifier que le matériel
de sécurité embarqué soit en stricte conformité.
Problème: les gilets tout neufs reçus en mars
portaient des étiquettes mentionnant une date de validité
à fin septembre. En septembre, les présidents
de station ont alerté le délégué
départemental de la SNSM François Baquet, qui
a fait le lien avec le siège parisien, de l'imminence
de la date butoir. Le fabricant anglais Survitec était
censé former le distributeur local, la société
Unimar, à la révision des gilets. Mais Survitec
a rencontré des problèmes de logistique, et fin
septembre, les gilets n'étaient pas révisés.
Le siège a demandé au fabricant de faire parvenir
de nouvelles étiquettes, le temps que Survitec forme
les techniciens d'Unimar, repoussant la date de validité
des gilets au 30 novembre.
"Il
y a urgence"
Les bénévoles ont installé ces nouvelles
étiquettes fin septembre, mais, arrivés fin
octobre, toujours pas de révision des gilets. Le délégué
départemental, dans un mail daté du 24 octobre,
écrit au directeur des achats de la SNSM "il y
a urgence...Nous ne pourrons pas reporter la date de validité
une nouvelle fois avec un nouveau tour de passe-passe.",
en référence au changement d'étiquettes.
Survitec étant dans l'incapacité de former les
techniciens d'Unimar à temps, a envoyé, à
ses frais, un second lot de gilets de sauvetages, parvenu
vendredi 29 novembre aux trois stations réunionnaises
de la SNSM, Sainte-Marie, Saint-Gilles et Saint-Pierre.
Ainsi, 18 nouveaux gilets de sauvetage de remplacement sont
arrivés en urgence, un peu trop en urgence, car les
sauveteurs ont eu la désagréable surprise de
constater que la date de validité de ce nouveau lot
se situe en avril 2019! Les présidents de station,
les patrons de vedettes et l'ensemble des bénévoles
se retrouvent dans l'impasse depuis samedi 30 novembre, date
de fin de validité du premier lot de gilets. Le siège
de la SNSM a fait parvenir directement du constructeur une
"notice of compliance", qui ne rassure pas les bénévoles.
Contacté, le directeur des achats, Benjamin Serfati,
nous assurait lundi soir que cette notice certifie que les
gilets ont été révisés avant leur
envoi, que les étiquettes sont une erreur humaine d'un
manutentionnaire de Survitec, et évoque la "loi
de Murphy" concernant La Réunion, affirmant que
l'île est le seul endroit à avoir rencontré
toutes ces difficultés. Il se dit peiné que
les bénévoles n'aient pas confiance en le papier
reçu, car son équipe s'est "décarcassée"
pour les sauveteurs. Des étiquettes nouvelles ont été
envoyées en express, qui devraient arriver les jours
prochains.
Un
problème de gouvernance ?
Ce manque de confiance évident illustre le problème
récurrent de la SNSM, un problème de gouvernance.
Au téléphone, Benjamin Serfati a d'ailleurs
reconnu que le système SNSM est pyramidal. La SNSM
est une association loi 1901, mais ses bénévoles
ne sont pas adhérents, et n'ont pas accès au
processus décisionnaire. Le siège, basé
près de l'Opéra, à Paris, gère
les formations des sauveteurs, les centres de formation, possède
le matériel, bateaux compris, et emploie 79 salariés
pour 3,7 millions de masse salariale en 2018. Suite au terrible
naufrage des Sables d'Olonne en juin dernier, le sénat
a auditionné les dirigeants de la SNSM, ainsi que les
bénévoles rescapés du naufrage, dans
le cadre d'une mission parlementaire. Le rapport pointe une
"fracture entre la base et le sommet", et un modèle
"jacobin" qui laisse les sauveteurs "sans voix".
Un bénévole réunionnais nous a conté
que les bateaux doivent être entretenus par les stations,
avec leurs propres moyens, car le siège verse zéro
euro pour le fonctionnement des stations. Les sauveteurs doivent
acheter leurs tenues, au siège, ainsi que des produits
marketing. De plus, elles doivent envoyer leurs bénévoles
(dits canotiers) à leurs frais, en formation en métropole.
Par ailleurs, le président de la station de Saint-Gilles,
qui s'est mis en retrait suite à ce problème
de gilets de sauvetage, goutte d'eau (de mer) qui a fait déborder
le vase, n'a plus accès au compte en banque de la station,
du fait du montage particulier de l'association SNSM. Un problème
de compte en banque rencontré par de nombreuses stations,
qui nécessiterait un changement de statut de l'association,
une fédération d'associations étant évoquée
par les bénévoles.
Les bénévoles se sont réunis hier soir
à Saint-Gilles, afin de décider ensemble de
l'éventuelle réouverture des stations de sauvetage,
sachant que celle de Sainte-Marie est sans vedette depuis
plus d'un an et ne reprendra sa mission que vers la mi-janvier.
Les patrons et canotiers sont formels, après avoir
relu la notice de Survitec: elle ne comporte pas de date de
révision. Par ailleurs, ils affirment refuser de coller
de nouvelles étiquettes, ainsi les gilets devront-ils
être effectivement révisés avant usage.
La société Unimar recevra, par visioconférence
avec Survitec, la formation quant à la révision
des gilets de sauvetage dans le courant de la semaine prochaine.
Unimar affirme que, ses techniciens étant en opération
à Mayotte, elle ne pourra réviser les gilets
qu'à compter de la mi-décembre.
En attendant la révision, les sauveteurs en mer n'acceptant
pas de remplacer eux-mêmes des étiquettes dont
ils doutent, ainsi que de leur délégué
départemental dont beaucoup réclament le départ,
il est possible que La Réunion n'ait pas de sauveteurs
en mer opérationnels pendant quelques temps encore.
Malgré la réponse que nous a donnée lundi
par téléphone le Centre de Sécurité
des Navires, les stations sont bel et bien fermées
jusqu'à nouvel ordre.
Zinfos974
- Vendredi 6 Décembre 2019 - 15:33 - Faits-divers - Le
président et le "patron" de la SNSM de St-Gilles
démissionnent
Suite
aux problèmes rencontrés entre les bénévoles
et le siège, dont le dernier en date est la réception
de gilets de sauvetages, selon les bénévoles,
non-valides car non-révisés, le président
de la station de sauvetage en mer de Saint-Gilles, Philippe
Vantomme, a démissionné. Il s'en explique dans
un communiqué ci-dessous.
Le "patron" (capitaine) de la vedette de Saint-Pierre
a pris hier la décision de prendre la mer en cas d'urgence
avec ces mêmes gilets. En revanche, le patron titulaire
de la vedette de Saint-Gilles, estimant que les demandes insistantes
à prendre la mer malgré les doutes sur la validité
des équipements de sécurité, a décidé
lui aussi de démissionner. Dans la foulée, un
patron suppléant, le vice-président, et deux
canotiers ont fait de même.
Contacté, le patron démissionnaire, Patrick
Vatel, explique les raisons de sa décision, un véritable
crève-coeur pour lui: "Je suis directement responsable
de la sécurité des équipages. On me demande
de coller des étiquettes à la légère,
alors que nous devons être intransigeants sur la sécurité.
Par ailleurs, ce problème de gilets n'est que la partie
émergée de l'iceberg. Nous remplissons notre
mission de sauvetage, mais le siège n'a pas mis en
place de dispositif de formation, quand nous avons une obligation
de formation régulière."
Ci-dessous,
le communiqué du président de station, Philippe
Vantomme :
"Ce mercredi 4 décembre est une triste journée
pour moi. Après 4 années au poste de président
et bénévole de la station et 6 années
passées comme sauveteur embarqué, je décide
de démissionner de la SNSM.
Cette société se coupe de plus en plus de sa
base, les décisions prises à Paris ne sont pas
en cohérence avec les besoins locaux. Alors que l’état
annonce l’augmentation des aides apportées au
siège, nous, stations de sauvetage, nous ne voyons
toujours pas la couleur d’un euro.
Je ne peux plus demander aux bénévoles de la
station de faire des marchés pour vendre des objets
afin de mettre de l’essence dans notre vedette, je suis
fatigué de mendier auprès des particuliers et
des entreprises privées un budget pour que l’on
puisse former nos canotiers.
Nous sommes seuls face à un bénévolat
de plus en plus "professionnalisé", je suis
seul responsable pour trouver des solutions afin de boucler
notre budget.
La goutte d’eau qui fait déborder le vase c’est
le forcing du siège et de son représentant local
afin que nos canotiers prennent la mer avec des gilets non
révisés... une scandale ! A croire que le drame
des sables d’Olonne est déjà oublié.
Ne pouvant plus travailler "bénévolement"
dans une structure qui ne reconnait pas le dévouement
des bénévoles, je préfère ne plus
naviguer dans ces eaux troublées. C’est avec
un grand regret que je quitte une station de sauvetage exemplaire,
avec des bénévoles
formidables et efficaces !
Je leur souhaite de meilleures conditions, un vent meilleur
qui leur permettra en toute sécurité de continuer
à porter secours aux usagers de la mer. Philippe
Vantomme "Bérénice
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IMAZ
Press - le 13/12/2019 - TCO - Travaux préventifs sur
la Ravine Saint-Gilles aux Roches Noires
Une nouvelle opération préventive (contre
le risque d'inondation) aura lieu dans la semaine du lundi
16 décembre (à partir de 4h du matin) au niveau
du port de Saint-Gilles. Par conséquent, pour permettre
le bon déroulement des travaux, retrouvez ci-dessous
les informations pratiques à savoir. (Photo d'illustration
www.ipreunion.com)
Le stationnement sera interdit au niveau des rues de la Poste
et du Port, du dimanche 15 décembre à partir
de 20h jusqu’au lundi 16 décembre à 9h.
L’accès à la plage des Roches Noires,
ainsi que la baignade et les activités nautiques seront
interdits du lundi 16 décembre au vendredi 20 décembre
2019 inclus. |
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IMAZPRESS
Réunion - 13/12/2019 - Pollution de la mer - Des cordages
et des filets échoués sur les coraux, la Réserve
marine intervient
Suite à l'alerte d'un usager, des agents de la Réserve
Naturelle Marine de La Réunion sont intervenus pour
enlever des amas de cordages et de filets échoués
sur le platier corallien, communique la Réserve ce
vendredi 13 décembre 2019. Ces macro-déchets
issus des activités humaines dérivent au gré
des courants marins et s'échouent parfois sur les plages
et sur les récifs coralliens notamment après
de fortes houles.
"Ces déchets représentent un danger pour
les espèces marines, comme les tortues ou les mammifères
marins... mais impactent également les coraux et les
animaux du récif" prévient la Réserve.
"Leur enlèvement est important mais doit se faire
avec beaucoup de précaution afin de ne pas endommager
davantage le milieu déjà fragilisé. Sentinelles
du lagon, vos signalements nous sont précieux ! Merci"
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